Présentation

Georges Nève, après des études à Saint Luc de Bruxelles et à l’Institut des arts et techniques artisanales de Namur, se décide tardivement à copier les impressionnistes français et à se lancer dans l’art difficile du portrait.

Vu le succès de la vente de ceux-ci, il vous présente un panorama de ses oeuvres que vous pouvez consulter sur ce site. Certaines sont en vente à moindre prix comme les posters ou les photographies, en différents formats (A3, A4,50*70 et format carte postale).

Sur le site vous verrez en premier lieu les reproductions et les photographies, mises en vente (disponible sur commande : email ou sur place) de différents formats.

En seconde lieu, un éventail de portraits aux pastels, des aquarelles et des copies à l’huile des impressionistes français tels que Monet, Sisley, Renoir, Guillaumin, Lansyer, Modigliani, Van Gogh.

Le violon d’Ingres de Georges est la cithare, cet instrument de musique à cordes (121) particulièrement adapté pour les cérémonies religieuses.  Déjà plus de 400 prestations en public.  Êtes-vous amateur pour apprendre à jouer? Contactez-moi. “La musique est la compagne de la joie et la médecine de la douleur”.

GALERIE D’ART

Fallait-il faire un choix
Ou bien tout accepter?
Toutes les oeuvres d’arts
Retenaient l’attention.
Si l’émotion est une,
Choisir ne serait pas
En soi, si difficile.
Chaque toile interpelle
Et propose un parcours,
Etudier, supputer,
Disséquer un tableau,
En sacrifier d’autres
Serait-ce une démarche?
Non, car le seul bonheur
C’est votre coup de coeur.

Lucien LECOCQ

L’ATELIER

Sur le chevalet, une toile
Pose des questions à l’artiste
Car elle est unie et sans vie
Et présentement encore triste
Verra-elle fleurir la rose,
Un ciel changeant ou des eaux vives,
Ou le reflet de l’inconscient
Venu du plus profond des âges?
La verrière de l’atelier
Ne laisse filtrer que grisaille.
Mais en lui-même, le peintre puise
Tous les soleils de sa jeunesse.
Sa palette ne peut offir
Que des impressions fulgurantes
Qui s’entrechoquent dans un hymne
A la joie de vivre, à l’ardeur,
Et le tableau devient lumière
Jusqu’à cette touche dernière
Qui enflammera tous les coeur.

Lecoq